dimanche 26 juillet 2015

Semaine 30 : du 20 au 26 juillet

Dernière semaine de vacances du côté de Bormes les mimosas, la chaleur est toujours là. Malgré l'envie, les sorties sont dures à déclencher.

Cette semaine, comme la fin de semaine dernière, Stéphanie a décidé de passer son tour, la chaleur et les parcours n'aidant pas.

Mardi : pas motivé du tout, les collines à grimper sont bien dissuasives. Je pars tranquillement en essayant de me construire un parcours dans la tête avant l'arrivée dans les collines.
Je zappe le 1er chemin sur la gauche menant à la maison abandonnée mais décide de prendre tous les autres chemins sur la gauche.

Le 2ème chemin mène vers une propriété, donc une voie sans issue. Le panneau sur le portail, n'incite pas à s'arrêter : "propriété privée : tir à balles". J'ai donc rebroussé chemin et repris le chemin principal. 

3ème chemin, je m'engage dedans mais petit à petit je me rends compte que celui-ci va me mener en haut de la colline sur le chemin de crête. Le chemin est de plus en plus raviné, j'ai de plus en plus de mal à courir. Le sol de terre rouge, laisse la place à un chemin rocailleux de plus en plus étroit. Après un petit intermède en faux plat la montée reprend de plus belle et je débouche finalement sur la crête ... Au même moment un coureur passait devant moi à bonne allure ... Ne sachant pas quel sens prendre je décide de suivre le coureur...

J'arrive un peu plus loin à la stèle des pompiers morts dans la lutte contre un incendie dans le colline et leur camion calciné. Petit moment de recueillement, un selfie et je repars dans l'autre sens.
En contrebas de la colline sur la gauche j'aperçois le fort de Bregançon. Je poursuis sur le chemin de crête où de grandes descentes m'attendent ... Je freine des quatre fers mais finalement je décide d'essayer de lâcher les chevaux ... Difficile exercice car les chevaux je contrôle pas trop et j'évite la chute plusieurs fois de suite entre cailloux, sable, terre et poussière.
Je descends enfin sur la route de cabasson pour remonter immédiatement dans la colline et entamer le chemin du retour beaucoup moins accidenté.
Au final une petite balade de 7,75 km, 310 m d'élévation, en 1 heure et 1 minute.

Jeudi : dernière sortie des vacances à Bormes les mimosas. Un peu de collines pour commencer et un peu de bitume pour finir. 
La montée de la colline par un passage étroit pour éviter les piques, me fera des frayeurs, manquant pas deux fois que me vautrer par terre, mais la vue en haut de celle-ci en valait la peine.
Descente également dans les arbustes piquants, je me suis rayé toutes les jambes avant de redescendre sur des parties plus large et moins "agressives"... le passage sur le bitume sera le bienvenue et surtout en descente pour récupérer.
Arrivé dans les lotissements de la Favière, un gars dans sa voiture moteur tournant, recule pour me laisser passer en me demandant si j'en aurais assez de place ... la blague ...
Enfin pour terminer ces sorties sur Bormes les mimosas, le retour je l'effectue par le chemin de la plage et sa petite côte du chemin des vignes qui casse bien les pattes sur la fin ... Musique dans la tête Oldelaf "La tristitude". 7,3 km en 52 min.

Ces sorties dans les collines de Bormes les mimosas ont été l'occasion de ressortir mes vieilles Asics Pulse 5 pour ne pas trop user les Saucony Ride 7 sur les chemins de terres rouge, les cailloux ... Finalement cela m'a permis de comparer un peu plus les 2 paires. Plus lourdes les Asics sont aussi plus larges pour l'avant du pied, cela m'a occasionné des ampoules entre les doigts de pieds les 2 premiers jours. J'ai également ressenti une sensation globale d'amorti plus important avec les Asics, cependant les Saucony sont plus dynamiques ... bizarre ces ressentis ...

Dimanche : retour dans les marais de Bourges, avec une petite sortie (moins de 5 km) voulue à allure cardio. Parti pour faire minimum 10 km, histoire de refaire le parcours de la ronde des marais, j'ai du écourter à cause d'une petite sensation d'hypoglycémie.
Autre constat, le cardio a bien travaillé dans les collines, car il a été simple de garder une allure moyenne de 9 km/h avec un cardio inférieur à 125 bpm ... cool ... Musique dans la tête, la musique de la publicité pour le Peugeot 3008 d'ALB "Whispers under the moonlight".

Au final, une semaine de 20 km, l'objectif 1000 bornes en est à 63 %.

vendredi 17 juillet 2015

Semaine 29 : du 13 au 19 juillet

Arrivé lundi pour une petite quinzaine de jours dans le sud du côté de Bormes les mimosas, j'en profite pour aller courir dans les collines.
Mardi : premier sortie avec Stéphanie, qui a décidé d'aller courir avec moi un jour sur deux. Mise en route difficile pour elle car difficile de trouver un terrain plat, ça monte et ça descend tout le temps. De plus la chaleur est au rendez-vous cette année avec une moyenne de 30°, gourde et camelbak sont les bienvenus pour s'hydrater tout du long.
Petite sortie de 4 km mais 130 m d'élévation où Stéphanie a du s'arrêter pour marcher. En même temps comme première c'était un peu dur.
Mercredi : deuxième sortie cette semaine, je n'avais pas envie de refaire le même circuit avec ses côtes abruptes, du coup j'ai mélangé un peu de chemins de colline avec du bitume de ville.
Toujours sous un gros cagnard, un petit 8 km à allure cardio.
Jeudi : 3ème sortie et retour de Stéphanie pour un nouveau circuit un peu plus court, soit un peu plus de 3 km à 7,4 km/h de moyenne toujours dans les colline et sous la chaleur.
Vendredi : Plus de batterie au 3/4 du parcours ... pfff ... quand on a pas de tête, on court ...
Un passage près d'une maison fantôme dans la colline et le reste de bitume. Musique dans la tête Coldplay  "A sky full of stars". Vitesse tellement élevée en côte que même des scarabées avaient le temps de traverser. Au final 8,44 km en 57 minutes.
Une première semaine sur la côte à 24 km sous une chaleur suffocante avec des sorties aux alentours de 18h30, heureusement que j'avais emporté mon camelbak.

dimanche 12 juillet 2015

Semaine 28 : du 06 au 12 juillet

Dernière semaine avant les vacances et un changement de paysage.

Mardi : Dernier tour dans les champs d'orge, qui étaient en pleine moisson. Une bonne chaleur qui a obligé Johanny à s'arrêter à 800 m de la fin. Un peu plus de 6,5 km à 9,86 km/h.

Mercredi : C'était la première sortie avec mon pote Jean-Loup, depuis le temps que nous devions aller courir ensemble. Jean-Loup court depuis peu et c'était l'occasion de l'accompagner dans les rues de Saint Germain du Puy. Petit tour de 4 km à peine, avec un petit sprint à plus de 12 km/h pour terminer. Sympa.

Jeudi : C'était la dernière sortie au boulot avant les vacances mais aussi tout court. A l'issue des vacances, retour à la case recherche d'emploi. Côté parcours, le traditionnel 9 km de la rocade verte, qui se terminera avec une chaussette droite en sang ... bobo au doigt pied du à un ongle trop long ... pfff ça fait tâche ... Musique dans la tête The Avener and Phoebe Killdeer "Fade out lines (The Avener Rework)". Cependant de bonnes sensations et content du résultat avec plus de 50 % de cardio sur la sortie et au final la distance parcourue à 10 km/h.

Dimanche : Dernière sortie longue sur Bourges avant la migration dans le sud-est. Réveillé de bonne heure, je suis parti plus tôt que d'habitude en espérant croiser Jean-Loup et Sonia autour du Lac d'Auron. Je suis parti avec l'objectif de tenir une allure cardio, soit entre 125 et 143 bpm, pendant toute la sortie. Arrivé aux alentours du Prado, j'ai commencé à suivre l'allure d'un coureur qui avait une foulée bien régulière. Je l'ai suivi sur la trouée verte jusqu'au barrage du Lac d'Auron où j'ai bifurqué pour faire le tour en sens inverse par rapport à d'habitude.

L'allure trouvée jusque là de 9,3/9,5 km/h était parfaite et passé le pont après "la plage", j'ai d'abord croisé Jean-Loup, puis un peu plus loin Sonia. On s'est souhaité bon courage.

Dans la descente au niveau du centre nautique j'ai bifurqué sur la gauche direction la rocade verte longeant la piste de l'aérodrome. En redescendant par la rue Benoit Malon, où la pente est abrupte, je croise Denis en plein remplissage de voiture pour aller à la déchetterie. Je m'arrête discuter 5/10 minutes et je repars pour la maison. La remise en route est difficile, les jambes se sont un peu ankylosées. J'ai même fait la course avec un pigeon dans les jardins des prés Fichaux.

Au final une sortie de 17,5 km à presque 9,5 km/h et surtout 67 % de la sortie en zone cardio.
Beaucoup de musiques dans la tête durant cette sortie longue : James Blunt "Heart to heart", Louane "Jour 1", la Compagnie Créole "C'est bon pour le moral", Christine and the Queens "Saint Claude", et une musique de Sinclair dont je ne me souviens plus le nom.

589 km depuis le début de l'année, soit presque 59 % de l'objectif 1000 bornes. Maintenant direction Bormes les Mimosas et ses collines. Bonnes vacances.

mardi 7 juillet 2015

1er Bourges Urban Trail

Inscrit longtemps à l'avance, avec les 2 trails déjà fait, je me serais bien inscrit finalement sur la course le plus longue la Jacques Coeur (17 km) au lieu de l'Avaricum (8 km).
Vu que la course était prévue à 20h15 le soir, que le retrait des dossards commençait à 15 h, et qu'en plus je courais à domicile, l'après midi a été assez cool mais long.

Retrait du dossard accompagné de Jean-Loup vers 16h, il n'y avait pas grand monde sur l'esplanade entre la mairie et la cathédrale. Retour à la maison puis tournage en rond en attendant l'heure fatidique.

Carole et Nathalie nous ont amenés les filles car elles aussi participaient à la course et pour Carole c'était sa première. Elle était un peu en stress.

Vers 19h avec Jean-Loup retour vers le village course organisé pour l'occasion où nous avons retrouvé Carole et Nathalie. On y a également croisé quelques badistes ou anciens badistes mais aussi des supporters comme Régis venu de Vierzon pour faire un petit coucou.

20h départ de la Jacques Coeur, dans une ambiance festive et c'est au tour des participants de l'Avaricum de se mettre en place dans le sas de départ. Carole et Nathalie sont derrière moi, juste avant le départ elles me demandent quel est mon objectif, je ne sais pas trop.
Malgré des conditions de course un peu plus fraiches, la météo annoncée parlait de 33° cette semaine à 20h, je n'avais réfléchi à combien je pourrais faire. Moins que les filles que l'avaient parcouru en moins d'une heure à l'entraînement, mais après ...

Le speaker a fait monter l'ambiance, on entendait pas bien ce qu'il disait, on a levé les mains et tapé dans nos mains plusieurs fois ... Et pan, le départ a été lancé ...
La masse de coureurs s'est lentement mise en route, j'étais sur le côté gauche de la chaussée pavée.

La pagaille habituelle du départ avec ceux qui courent au ralenti, ceux qui zigzaguent pour aller le plus vite possible aux avants-postes.

Sur la gauche j'aperçois Régine avec son appareil photo au dernier moment, pas sur qu'elle ait pu me prendre en photo à ce moment là ... on traverse la rue moyenne pour descendre vers la préfecture, j'entends les encouragements de Régis et puis patatras Sarah qui était devant moi s'est retrouvée au sol, j'essaye tant bien que mal de contourner par la gauche pour trouver un peu d'espace pour prendre mon rythme.
On tourne pour descendre vers le pub Jacques Coeur, ça va vite il y a des coureurs partout sur la routes, sur les trottoirs, à ce moment là en descente je suis à plus de 15 km/h.
Puis on remonte la rue des armuriers pour bifurquer vers la gauche dans un petit couloir. Je me souvenais que lors de la reconnaissance, ce passage comportait 2 bornes en pierre. Au dernier moment dans la foule, je les aperçues entourées d'un haut coussin de mousse, on aurait des colonnes de triage. Ensuite on arrive à l'église Saint Pierre et on tourne sur la droite dans la rue du Secrétain avant d'arriver à la halle au Blé.

Jusqu'ici que des pavés et encore beaucoup de monde, j'alterne entre phases d'accélérations et phases d'attente pour pouvoir doubler ... difficile pour le cardio, ma montre oscille autour des 13 km/h.
Pour pénétrer dans l'enceinte de la Halle au blé, on monte nos premières marches 2 par 2, puis une fois dedans j'essaye d'accélérer pour me sentir un peu plus à l'aise sans trop de monde autour de moi.

Après direction le collège Littré, le collège de Lili, en enchaînant les changements de direction dans les petites rues ... juste avant le collège, on tourne pour descendre vers l'ancien Hôtel-Dieu, là on traverse dans sa cour pour rattraper la rue des poulies, où nous attend le premier brumisateur, qui surprend mais rafraichit.

C'est le yoyo avec plusieurs coureurs, on arrête pas de se doubler redoubler avec l'enchainement de montées et de descentes.

Au 2ème kilomètre, on descend à fond pour attraper un petit escalier qui traverse la rue Jean Jaurès pour gagner le centre Avaricum. Je suis à plus de 16 km/h en pointe, je le sens, j'angoisse un peu car je me dis que depuis le début de la course, j'ai rien géré.

Passé Avaricum en trombe, direction la rue Bouillet pour déboucher dans le parc des prés fichaux où nous attendent quelques marches, le sol change, plus de pavés, bitume sur les routes et petits graviers dans le parc. Ensuite on remonte vers le centre nautique et ses marches assez étroites à descendre. Je fais attention, je maitrise pas la descente de marches ...

Arrivé en bas, difficile de relancer, je commence à payer mon début de course un peu trop rapide, comme d'habitude. On passe à l'endroit où les 2 parcours bifurquent sous une arche, à gauche pour le 17 km, tout droit pour le 8 km. Au sortir de la rue de la Fontaine de Fer, on débouche sur la droite dans la rue Max Dormoy, où j'entends une personne nous encourager, allez courage vous êtes à la moitié du parcours. En fait de la moitié, c'est juste un peu plus loin, lorsque l'on tourne vers chez moi au 4ème km, le boulevard du général Chanzy, pour aller au moulin de la Voiselle pour la partie dans les marais de la course.

On passe sur un petit pont recouvert de moquette, les lames de bois en dessus bougent énormément, heureusement il n'est pas long. Nous longeons la Voiselle, l'herbe a été coupée, puis de nouveau petit pont et on arrive au premier ravitaillement où je prends le temps de boire un verre.
Petit détail sur l'organisation, pas de poubelles après le ravitaillement, les bénévoles ont du s'amuser à ramasser verres et autres déchets.
On termine la partie marais pour retourner en centre-ville par une petite côte qui casse bien les pattes, un avant goût de la suite.

On traverse le boulevard Clémenceau, où la personne, qui fait la circulation, nous encourage en nous disant que c'est là que ça commence à monter ... effectivement on grimpe une partie de la rue Samson et c'est le retour des pavés, un peu plat/descente rue Montcenoux avant d'entamer la belle montée de la rue des juifs où nous attendent les filles, toute la famille. Je ne les aperçois même pas sur les côtés mais je les entends concentré sur ma course et surtout à essayer de garder un petit rythme, je ne suis plus qu'à 9 km/h à ce moment là.
Ensuite c'est la descente de la rue Bourbonnoux, rapide, en alternant trottoir et pavés au milieu de la rue pour doubler lorsque c'est possible, un peu de répit avant d'affronter le passage casse-cou de la rue Mirebeau.

Passage casse-cou et ses petites marches pas hautes avalées deux par deux avec un petit palier au milieu et une sortie qui se rétrécie, les yeux ont du mal à s'accommoder à la pénombre.
Ensuite au 6ème km, direction la rue moyenne que l'on descend avant de s'en aller vers le palais Jacques Coeur et ses marches pour atteindre le théâtre Jacques Coeur.

Difficile de garder un semblant de vitesse en montant les marches toujours 2 par 2, toujours beaucoup de monde pour encourager depuis le début de la course dans les rues, c'est très agréable et ça booste.
On redescend vers la rue des armuriers pour bifurquer sur la gauche et les escaliers de l'enclos des jacobins et son 2ème ravitaillement que je zapperais cette fois-ci. Monté difficile encore une fois, car ça casse bien le rythme surtout avec le palier ou le ravito était installé et le sol était trempé, limite glissant pour enchaîner sur les dernières marches.

On repasse la rue moyenne au niveau de la poste pour redescendre un peu, de nouveau un brumisateur au 7ème km à qui je fais signe et il m'arrose copieusement. On touche presqu'au but, on remonte la rue de l'hôtel Lallemant avant de descendre dans le passage Georges Sand.

Depuis un moment, je suivais 2 coureurs un homme d'une certain âge qui guidait une jeune femme, le passage dans les remparts me fera perdre pas mal de temps à essayer de les doubler. En effet, on aurait que le gars indiquait à la fille à chaque fois où je voulais passer pour doubler, j'ai rongé mon frein, j'accélérais, je ralentissais, à gauche non, à droite non plus, grrrr ... et cela jusque derrière la cathédrale, où j'ai entendu Sophie m'encourager, allez merluche !!!
Dans la ligne droite sur le trottoir avant de rentrer dans les jardins de l'archevêché, j'ai donné un bon coup de rein pour les semer, au même moment j'entendais Stéphanie m'encourager bizarrement, dépêche !!! En fait ce n'était pas pour moi mais pour les filles qui étaient à la traine pour la rejoindre.

L'entrée dans les jardins, avec les dernières marches avalées 2 par 2 toujours, s'effectuera en accélérant pour gratter un peu de place. Un dernier virage où Régine et Michel étaient placés et je sprinte jusqu'à l'arrivée à plus de 15 km/h, ça y est c'est terminé ... 
Je me dirige tant bien que mal en récupérant un peu mon souffle vers le ravitaillement super bien garni en fruits frais, secs, boissons. Puis je retourne encourager Carole et Nathalie qui arriveront 15 minutes plus tard. 

Au final, je termine 140ème sur 557 participants, pas si mal, en 42m34s, soit plus de 11 km/h, une bonne première. Rien n'a voir avec le trail de Sancerre, où il m'avait fallu une semaine pour m'en remettre. Dès le lendemain, je me sentais d'attaque, pas de douleurs ni de courbatures.

Maintenant c'est l'été, plus de courses prévues avant début septembre et la ronde des marais.

samedi 4 juillet 2015

Semaine 27 : du 29 juin au 5 juillet

Encore une semaine light vu les températures caniculaires que l'on a enduré, jusqu'à 39° dans la journée et encore plus de 30° vers 20h.

Difficile de sortir courir dans ses conditions et pourtant il le faudra samedi soir pour le Bourges Urban Trail. En effet l'organisation a annoncé 33° à 20h, l'hydratation va nouvelle fois être la clé.

Ca tombe bien, la semaine dernière j'ai commandé un gilet d'hydratation, un Camelbak Circuit.

Vendredi : après une sortie avortée avec Jean-Loup mercredi soir, j'avais décidé de faire une petite sortie pour tester le Camelbak.
35° une chaleur suffoquante, la mise en train a été difficile. 1ère constatation courir avec une poche à eau, ça fait du bruit. La prise de gorgées d'eau n'est pas si évidente même si le système est pratique, j'ai failli m'étouffer 2 fois.

Il faisait tellement chaud que je sentais mes joues bruler et j'ai même croisé des jeunes qui se baignaient au barrage des 4 pelles au nord des marais.

4,85 km/h à 10,6 km/h, un peu plus de la moitié du parcours de demain mais sans difficultés. Difficile de redescendre en température à l'issue de la sortie.

Samedi : Bourges Urban Trail, compte rendu à venir.